Nous soutenons la liste de Cheikh Sidy Moukhtar Mbacké àTouba. Une liste sans parité car contraire aux principes de l’islam. Cheikh Sidy Moukhtar Mbacké Yalla nafi yague té wér (Qu’Allah lui prête longue vie). Amine !
Fondé en 2002 au Nigéria par le Cheikh Mohamed Youssouf, le mouvement Boko Haram (qui signifie en haoussa : l’éducation occidentale est un péché) s’était fixé comme objectif : la propagation de l’enseignement du Prophète (PSL) et du jihad. D’ailleurs le nom arabe de l’organisation est : Jamaat ahlous sounna lid da’awa wal jihaad. Cette dernière expression est le vrai nom l’organisation. Cependant pour se faire comprendre par le peuple haoussa, ses membres utilisaient l’expression boko, qui vient de l’anglais « book » ou livre, doublé du mot haram, qui signifie péché, tout cela pour expliquer que « le livre occidental est un péché ». Dans la tentative des médias de vouloir réduire le mouvement à une secte le nom de Boko Haram s’imposa.
Les membres du groupe, aussi bien que leurs chefs, avaient pour modèles les Talibans afghans. Leurs cibles militaires se limitaient aux symboles de l’état fédéral nigérian et sur ce, au nord, ils parvinrent à s’imposer dans les états du Bauchi, du Borno, à Yobe et au Kano. La police nigériane débordée se fit seconder non pas par la gendarmerie mais plutôt par l’armée, comme qui dirait une guerre avec des étrangers ou des sécessionnistes. La révolution musulmane fut étouffée dans l’œuf et le 30 juillet 2009, le chef Mohamed Youssouf est arrêté et exécuté sans aucune forme de procès dans les locaux de la police, à la suite de tortures. Le mouvement connu plus d’un millier de martyres et se radicalisa davantage et cette fois sous le commandement d’Abubakar Shekau. Suivent alors des attentats, des crimes organisés, des enlèvements de toutes sortes, ayant pour principales cibles les chrétiens.
Le dernier événement en date serait l’enlèvement de plus ou moins de deux cents écolières par le mouvement. Je ne m’aventure pas sur les chiffres compte tenu du fait que les versions diffèrent à ce niveau. Depuis quelques jours, les médias nous montrent un « Abubakar Shekau », ricanant, titubant, comme sous l’effet d’une drogue coiffé d’un bonnet à la « père Noël », son discours sous-titré ne semble guère correspondre à ce qui est réellement dit, car en un moment donné nous avons entendu « Aïcha et Abu Bakr », ce qui n’est nullement traduit. Des questions alors nous viennent à l’esprit. Et si c’était un faux Shekau, comme les médias occidentaux avaient l’habitude de faire avec Oussama Ben Laden ? Et si l’enlèvement était organisé par des militaires en civil comme fut le cas avec le GIA algérien ?
« Le peuple engagé dans la propagation de l’enseignement du Prophète Mohamed (PSL) et du jihad » plus connu sous le nom de Boko Haram, a une véritable assise populaire au nord du Nigéria, alors tous les moyens sont bons pour le déstabiliser.
Toujours est-il que s’il s’avère que c’est eux qui l’ont fait, ils doivent savoir qu’ils ont commis des actes contraires aux lois islamiques. Néanmoins le doute est permis.
En votant au second tour pour l’actuel Président Macky Sall, je ne pensais pas un seul instant que deux années plus tard que celui que j’avais considéré comme un vieillard monarchiste, qui plus est, pouvait se permettre de se dédire à qui voulait l’entendre, puisse renaître de ses cendres dans mon cœur, au point de m’impatienter de le revoir dans notre cher pays qui est le Sénégal. L’ancien Président Abdoulaye Wade fut en un moment donné l’histoire notre idole, nous autres la génération de l’année blanche de 1988 à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Il symbolisait l’espoir de toute une jeunesse en mal de vivre, prête à déverser sa bile sur un parti socialiste, qui depuis les indépendances, était au pouvoir et semblait s’y accrocher par tous les moyens. Le Président Wade nous aida, bien plus tard, à nous en débarrasser. Son règne se caractérisa entre autres par le développement des infrastructures autoroutières mais son erreur fut de faire croire aux Sénégalais que son fils Karim Wade était le plus intelligent et qu’il devait être le ministre du « ciel et de la terre », tellement qu’à lui seul il occupait plusieurs portefeuilles ministériels.
Avec l’arrivée du Président Macky Sall, les Sénégalais poussèrent un ouf de soulagement. Au moment où on s’attendait à Niasse ou Tanor, le troisième larron rafla avec 65% de l’électorat la mise. Le maçon devant être jugé au pied du mur, le peuple s’attendit à une baisse du cout exorbitant de la vie. Le Président nous fit comprendre qu’avec la traque des biens mal acquis le Sénégal allait recouvrer ses fonds détournés et nous aider à assoir les bases de son développement. L’on priva du ministre du « ciel et de la terre » et présumé prince héritier, de sa liberté. Plus d’une année plus tard, personne ne fut capable de nous dire ce que Karim a détourné. Deuxième erreur qui semble être la goutte d’eau qui fera déborder le vase est l’interdiction de l’accueil du Président Abdoulaye Wade dans son propre pays.
Le Sénégalais ne laissera plus personne constituer un frein à sa liberté. Le début de la fin d’un règne, aussi court soit-il, semble être amorcé. Qui sera le futur P… ?
Le Ngallakh: un des symboles du dialogue islamo-chrétien au Sénégal.
Cet article est reposté depuis Makaila, plume combattante et indépendante.
Idriss Déby donne 48 heures aux responsables de la Séléka de quitter le Tchad
Selon nos sources, Idriss Deby a décidé d’expulser les responsables politiques et militaires de la Séléka, après les avoir aidés et soutenus de créer un mouvement séparatiste sur des bases confessionnelles. Pour se faire bonne conscience, il vient de simuler les expulsions de tous les ministres qui se trouvent à Ndjaména. Ils ont 48 heures pour quitter le territoire tchadien.
Cette mesure d’expulsion intervient rapidement après l’annonce par l’ONU,d’une enquête internationale sur les exactions commises en RCA, par les différentes factions armées d’où qu’elles viennent.
Comme son régime est pointé du doigt dans de nombreux rapports des Ong, le dirigeant tchadien a immédiatement ordonné les expulsions de ses protégés pour envoyer un signal d’apaisement à la communauté internationale.
La rédaction du blog de makaila
Indépendant depuis 1960, voilà cinquante-quatre ans que le Sénégal, notre cher pays célèbre sa prise en main de sa propre destinée par un défilé, on ne peut plus symbolique. Nous ne cesserons de dire haut et fort notre fierté d’être Sénégalais. Ilot de démocratie dans une Afrique des guerres tribales et ethnico-religieuses, notre pays a la particularité de rivaliser avec les vieilles démocraties mondiales, pour non seulement de n’avoir pas connu de coup d’état mais en plus quatre régimes politiques se sont succédé à la présidence, sans compter le fait que le premier Président de la République fut un chrétien dans un pays à plus de 90% de musulmans. De quoi vraiment être fier d’être Sénégalais.
Cependant là où le bât blesse, est que lors de l’ouverture de la cérémonie de défilé des civils nous avons vu symboliquement l’Institution catholique Notre Dame ouvrir le bal. Pour un pays qui se dit laïc, nous aurions souhaité à la place avoir un établissement public comme le lycée Kennedy qui a fermé la marche. Pourquoi pas à la place de Notre Dame, l’école de l’élite féminine de Gorée, Mariama Ba ? Ou si on veut réellement maintenir Notre Dame alors pourquoi pas un établissement Franco-arabe dans le défilé du moment que ce type d’école a reçu ses lettres de noblesse depuis fort longtemps à travers des institutions comme l’école de Mariama Niass qui aurait pu participer par un défilé moins folklorique. Pourquoi pas aussi la Troupe Jotali qui font des merveilles avec les chansons arabes ?
L’indépendance suppose une prise en compte des véritables réalités sociales du pays et jusqu’à présent le défilé civil a un goût de défilé extra sénégalais en ce sens que nous ne nous identifions pas à ce que nous avons vu.
Parmi les cinq piliers de l’islam, le pèlerinage aux lieux saints de la Mecque. C’est une obligation divine pour tout musulman qui a les moyens de s’y rendre. Et en principe nul n’a le droit d’interdire à son frère musulman de s’acquitter de cette obligation s’il manifeste le désir de l’exécuter. Malheureusement ce que nous constatons aujourd’hui est que le gouvernement saoudien a refusé l’accès des lieux saints aux Guinéens, sous prétexte qu’ils seraient probablement porteurs du virus Ebola. Décidément les descendants de l’almamy Samory Touré n’ont pas encore fini de subir les effets collatéraux et néfastes de cette maladie. D’abord leurs voisins Sénégalais et maintenant c’est au tour des gardiens des lieux saints de la Mecque, qui par la force de l’épée du prince Ibn Saoud à travers l’histoire, ont pu s’imposer et dicter leurs lois religieuses à qui veut l’accepter. Ennemis des Frères musulmans et des chi’ites iraniens, les wahhabites saoudiens n’ont trouvé comme solution pour venir en aide au peuple guinéen meurtri en les taxant de sales nègres malades prêts à répandre le virus chez eux. Non les choses ne devaient pas fonctionner ainsi. Je sais que mes amis wahhabites me reprochent souvent de me servir de la logique humaine pour résoudre les questions religieuses et me disent d’apporter des textes pour étayer mes thèses, mais pour cette fois-ci je me plierai à leur… logique en rappelant ce hadith : « Abou Hourayra rapporte ces propos de l’Envoyé de Dieu – sur Lui la grâce et la paix - : ‘’Les devoirs de tout musulman à l’égard de ses frères sont au nombre de cinq : il se doit de lui rendre le salut, de le visiter lorsqu’il est malade, de suivre son cortège funèbre, de se rendre à son invitation et de lui souhaiter que Dieu lui fasse miséricorde quand il éternue.’’ Rapporté par Boukhari et Muslim. Une autre version comporte ce sixième précepte : ‘’ Et donne lui un conseil s’il te le demande’’ ». Chers frères Saoudiens, votre décision n’honore guère l’islam car nous aurions pensé qu’elle serait prise par un pays occidental mais quelle ne fut notre déception en apprenant la nouvelle.
Le 1er avril est toujours l’occasion rêvée pour les farceurs, trompeurs et plaisantins de tout acabit d’inventer des mensonges tout cru pour les faire avaler aux faibles d’esprit. Le but de cet exercice malfaisant : jouer, s’amuser et pas plus. Le pire est qu’il arrive qu’on tue une célébrité, qu’on annonce un faux mariage et d’autres encore du genre qui pourraient même tuer certains cardiaques qui peuvent mordre à l’hameçon. En islam il n’y a ni de vrai ni de faux mensonge. Un mensonge est un mensonge, pas plus. A ce propos le Prophète (PSL) n’a-t-il pas dit : « Le mensonge n’est valable ni étant sérieux ni en plaisantant » (rapporté par Al-Bayhaqi). Non au poisson d’Avril et oui à la vérité en toute circonstance.
/fdata%2F5748117%2Favatar-blog-1308217168-tmpphpdDLT5x.jpeg){kind=avatar}
